Entreprise peu commune, Sokoa rassemble des hommes et des femmes fiers de leur région pour servir des objectifs communs : créer de l’emploi au Pays Basque et donner du dynamisme à ce territoire. Spécialisée dans la conception et la réalisation de sièges professionnels, l’entreprise Sokoa cherche également à offrir confort et bien-être à ses utilisateurs. Timothée Achéritogaray, directeur général de la marque basque, a accepté de nous expliquer l’origine de Sokoa ainsi que ses ambitions pour demain.
Bonjour Timothée, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Bonjour, je suis Timothée Achéritogaray directeur général de Sokoa. J’ai rejoint cette entreprise il y a maintenant 13 ans. En tant que directeur général, mon champ d’action est très large. Toutes mes missions ont pour objectif de garantir la pérennité ainsi que le succès de Sokoa. J’ai donc plusieurs rôles liés à la direction générale, à la culture et aux valeurs de l’entreprise, à la motivation des salariés, à la circulation de l’information en interne, à l’évolution du secteur ou encore aux décisions d’investissement. Je fais également le lien avec le conseil d’administration de l’entreprise et j’ai aussi un rôle de dialogue, d’échanges et de représentation auprès de l’ensemble de nos parties prenantes.
Qu’est-ce qui vous plaît dans cette entreprise ?
Sokoa est une société qui a des valeurs très fortes et c’est ce qui me plaît beaucoup. Elles sont portées et appliquées depuis 50 ans. Parmi nos valeurs, nous avons un ancrage territorial très fort. Sokoa va au-delà de son métier qui est d’offrir du confort et du bien-être à des milliers de personnes, puisqu’elle a un rôle social et économique très important qui est la création d‘emplois au Pays Basque et la valorisation de ce territoire. Aujourd’hui, avec la RSE c’est une thématique très à la mode mais chez Sokoa l’ancrage territorial et le rôle social appartiennent à son ADN. Nous défendons des valeurs et un métier noble depuis nos origines et nous avons la chance que cela perdure dans le temps.
Sokoa est née en 1971 suite à un projet de développement pour favoriser la création d’emplois au Pays Basque, est-ce que vous pouvez nous en dire plus sur ses origines ?
La création de Sokoa vient d’un mouvement collectif, militant et citoyen regroupant des hommes et des femmes du Pays Basque autour d’un objectif commun : créer de l’emploi dans cette région en s’appuyant sur l’épargne populaire et locale. Le Pays Basque est un milieu rural, le but était donc de participer à sa dynamisation en créant de l’emploi pour le plus grand nombre. Notre vision était utopique, il fallait y croire fortement à l’époque mais nous avons réussi. Avec cette épargne, nous avons fondé une entreprise qui est aujourd’hui leader en France et en Europe sur le marché des sièges et des solutions d’assises professionnelles. Notre mouvement a été précurseur car aujourd’hui de nombreux organismes font appel à l’économie collaborative. Aujourd’hui, Sokoa n’appartient pas à un fonds de pension ou à un groupe étranger mais à plus de 1 100 actionnaires. Chacun d’eux ne détient pas plus de 2% du capital et la très grande majorité de nos actionnaires sont des particuliers. Derrière Sokoa, il y a une véritable aventure collective.
Qu’est-ce que ce mode de fonctionnement apporte à l’entreprise mais aussi personnellement à chacun des salariés ?
De nombreuses personnes pensent souvent que Sokoa est une coopérative car l’actionnariat salarié est poussé très loin mais en réalité nous sommes une société anonyme. Notre exemple montre bien que la forme juridique est une chose mais que ce qui est véritablement important ce sont les valeurs d’une entreprise et la manière de les faire vivre. Aujourd’hui, nous mettons surtout en avant le pourcentage du capital détenu par nos salariés actuels mais il faut savoir que beaucoup de nos anciens employés décident de conserver leur part malgré le fait qu’il soit possible de débloquer ce capital lorsque l’on quitte l’entreprise. Cette volonté de rester actionnaire de Sokoa de la part d’une grande partie de nos anciens collaborateurs montre bien leur fort attachement et leur implication dans l’entreprise. Fonctionner ainsi nous permet d’être en cohérence avec nos valeurs et de bénéficier d’un actionnariat qui nous fait véritablement confiance.
Comment se traduisent les valeurs de Sokoa au quotidien ?
Plusieurs valeurs sont venues entourer la création de Sokoa comme la croyance dans le collectif, le souhait de développer l’emploi et l’ancrage territorial fort. Ces valeurs s’expriment à travers plusieurs volontés comme la répartition équilibrée des profits, l’association significative des salariés au capital de l’entreprise et la transparence de la gestion sur les comptes ainsi que sur les projets et les orientations stratégiques. Durant les 15 dernières années, la France a subi plusieurs crises dont une récemment avec le coronavirus. Malgré cela, Sokoa n’a procédé à aucun licenciement et a choisi de maintenir tous ses emplois. Ce choix est purement lié aux valeurs de Sokoa que je viens de citer précédemment.
Sokoa a-t-elle toujours été une entreprise spécialisée dans le mobilier professionnel ?
Non, Sokoa à l’origine était une société de négoce spécialisée dans l’import-export entre l’Espagne, plus précisément entre le Pays Basque espagnol et le Pays Basque français. Cela offrait une complémentarité avec un Pays Basque espagnol très industriel et le Pays Basque français qui offrait des débouchés commerciaux. Grâce à cette alliance, nous avons pu vendre tout un tas de produits. Cependant, la spécialisation est venue rapidement. En effet, à partir de 1972, grâce à un salon commercial à Bayonne, nous avons commencé tout doucement à nous spécialiser dans la vente de sièges professionnels, notamment dans le mobilier de bureau.
Quelles ont été les différentes phases qui ont menées à ce changement ?
Ce changement s’est fait petit à petit. Nous avons réussi peu à peu à maitriser les différents éléments de la chaîne de valeurs. En 1979, un atelier d’assemblage est créé puis en 1982 un atelier de tapisserie voit le jour dans nos locaux à Hendaye. Cette partie production va prendre de plus en plus de place. C’est pourquoi, à la fin des années 1980, Sokoa lance la création d’une usine industrielle à Hendaye pour pouvoir accueillir ses différents ateliers de production. Au fil des ans, ce site industriel a profité de cinq extensions pour pouvoir porter la surface de production à 20 000 mètres carrés. Ensuite Sokoa a également évolué en intégrant dans les années 1990, un designer en interne. Depuis, différents designers internes se sont succédés dans notre entreprise. Nous faisons également appel régulièrement à des designers externes comme Jean-Louis Iratzoki du studio Iratzoki – Lizaso et bien d’autres encore. Pour résumer, Sokoa a commencé comme négociant, puis est devenu assembleur pour ensuite maîtriser l’ensemble des savoir-faire autour du métier de la tapisserie, du garnissage ou encore de la couture. Nous sommes alors devenus un véritable fabricant. Nous avons ensuite intégré et développé le design afin de devenir créateur de nos propres solutions et modèles.
Pourquoi cette évolution ?
Cette évolution répond à notre volonté première qui est de créer de l’emploi à Hendaye, au Pays Basque. Pour cela, il nous fallait nous extraire du bas de gamme pour aller vers du cœur de gamme en proposant des produits qui ressemblent à Sokoa et que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. Pour nous, proposer un design qui nous est propre tout en offrant un très bon rapport qualité-prix est primordial.
Aujourd’hui, vous êtes leader national et européen sur les solutions d’assises et notamment les sièges de bureau, comment êtes-vous parvenus à cette position-là ?
Grâce à beaucoup de choses et notamment le temps. Cette position nous l’avons acquise petit à petit en construisant des bases solides. Il y a eu énormément de travail, de la constance ainsi que de la persévérance et une écoute marché permanente. Nous sommes devenus leader en proposant des produits qui correspondent aux attentes des utilisateurs. Les autres éléments clés sont le savoir-faire et l’implication au quotidien des salariés ainsi qu’une collaboration étroite avec nos partenaires, fournisseurs et clients construite au fil des ans. Enfin, nous devons aussi notre succès à un actionnariat très pluriel, fidèle et bienveillant. Nos actionnaires nous font confiance car ils sont en phase avec nos valeurs. Cet actionnariat fidèle est très précieux pour nous car il nous permet de raisonner sur un temps long. Notre développement a pu également se faire grâce à notre capacité à capitaliser et à transmettre nos connaissances.
Quels ont été les produits ou bien les procédés qui ont contribué à faire connaître Sokoa et à lui offrir sa renommée ?
Il me paraît important d’en lister plusieurs. Dans les années 1980, nous nous sommes démarqués avec le siège Brio. Le fauteuil Eden a également longtemps été notre meilleure vente en tant que siège de bureau. Il est l’un de nos best-sellers avec une durée de vie remarquable de quasiment 20 ans. Le siège Maya est également un succès notamment du point de vue de sa durée de vie. Wap nous a permis d’asseoir notre notoriété sur les solutions d’assises en collectivité. Plus récemment, le fauteuil Tertio a remporté un immense succès commercial. Dans nos produits récents, la gamme de banquettes modulaires Mendi a contribué à élargir notre gamme de mobilier professionnel sur les espaces de convivialité. Enfin, notre nouvelle gamme Klik nous permet de nous positionner sur le marché du mobilier de l’hôtellerie et de la restauration. Il y en a plein d’autres mais ceux cités nous ont vraiment permis d’acquérir une position d’expert dans notre domaine d’activité. Certains nous ont également permis d’agrandir notre champ d’action en intégrant de nouveaux marchés adjacents au nôtre.
Comment est initiée la création d’un produit ?
Nous sommes en veille constante sur le marché des sièges de bureau et des solutions d’assises. Il est également nécessaire d’avoir du recul sur nos produits c’est-à-dire savoir lesquels vont être à renouveler en étudiant les ventes. Il s’agit aussi d’un travail quotidien qui nécessite une veille concurrentielle ainsi qu’une veille sur les matériaux ou encore sur les procédés de fabrication. La plupart des services de l’entreprise sont donc impliqués dans la création d’un nouveau produit.
Est-ce que vous pouvez nous raconter les différentes étapes qui mènent à la réalisation d’un produit ?
Tout démarre par l’écoute du client ainsi que du marché. Ensuite viennent les veilles réalisées par une grande partie de nos services (marketing, production, design, qualité…). À partir des résultats des différentes veilles, nous construisons un cahier des charges que nous confions aux designers pour qu’ils nous proposent un nouveau produit. Une fois le design validé sur la base d’un prototype échelle 1, il passera par les différentes étapes de conception, développement et industrialisation jusqu’à sa mise sur le marché.
Comment ces différents métiers collaborent-ils ensemble ?
Il existe au sein de notre entreprise un comité produit qui regroupe les principaux services comme le marketing, la partie commerciale, le service achat, le service production, le bureau d’étude, le service qualité et bien entendu la direction générale. Ce comité a pour but d’avancer ensemble avec les différents services tout au long des principaux jalons des nouveaux produits et des prises de décision. Chaque métier intervient également à différentes étapes de la réalisation d’un produit, la collaboration se fait aussi grâce aux différents échanges. Mon rôle est de faciliter la communication et sa bonne circulation. L’arbitrage fait également partie de mes missions tout au long de la conception du produit.
Le design pour vous en trois mots ?
Pour moi, derrière le design il y a la notion de beau. Ce que l’on pourrait aussi qualifier d’élégant ou d’esthétique. Le design doit aussi être quelque chose de simple qui se prête au confort. La notion de prix est également importante. Un produit design doit être accessible à tout le monde. Il ne faut pas s’adresser uniquement à une élite car cela serait contraire à nos valeurs et à notre vision du design. Sokoa a très tôt placé le design au cœur de sa stratégie comme élément fort de sa différentiation.
Sur quels critères sélectionnez-vous les designers avec lesquels vous travaillez ?
Nous sélectionnons nos designers grâce à un cahier des charges que nous élaborons en fonction de nos besoins. Ensuite, nous étudions leurs propositions. Le cahier des charges englobe l’écoute des clients et du marché, les nouveaux modes de consommation, les nouvelles tendances, les analyse des ventes et des produits déjà existants, les produits arrivant à échéance, les nouvelles manières de produire… En fonction de ce cahier des charges, les designers vont pouvoir proposer différentes créations. Nous attendons d’eux qu’ils s’adaptent au langage design de Sokoa en proposant des produits propres à notre identité.
Justement, pour vous qu’est-ce qu’un produit Sokoa ?
Un produit Sokoa est un siège au design contemporain, qui inspire simplicité et convivialité, tout en étant ergonomique, confortable et bien conçu. Il doit s’adresser au plus grand nombre en proposant un bon rapport qualité-prix. Le mobilier Sokoa doit également avoir de très nombreuses déclinaisons pour répondre aux goûts de chacun.
Une large partie de votre collection est dédiée aux sièges de bureau, pouvez-vous nous présenter votre siège idéal en quelques mots ?
Elégant, inspirant bien sûr mais aussi confortable et durable, il faut impérativement qu’il puisse durer dans le temps. L’ergonomie est également quelque chose de très important. Enfin, le rapport qualité-prix est lui aussi primordial. Notre volonté est d’offrir du bien-être au plus grand nombre. Je rajoute également l’importance du “fabriqué en France” et de l’éco-conception qui est en cohésion avec nos valeurs et notre objectif de créer de l’emploi pour dynamiser un territoire dans le cadre d’une politique RSE.
Pour vous le confort d’un siège de bureau repose sur quels éléments ?
Le confort, il faut que nous puissions le percevoir directement. Il repose sur plusieurs éléments notamment la durabilité. Un siège de bureau doit pouvoir durer au moins 8 ans. La tenue et le maintien du dos sont essentiels. Pour cela, un siège de bureau doit être doté de renforts lombaires. Il doit également être réglable c’est-à-dire qu’il doit pouvoir s’adapter aux besoins de son utilisateur. Une bonne assise avec un rembourrage en mousse offre également un très bon confort au siège de bureau. Les éléments indispensables pour avoir un siège confortable sont donc le maintien du dos, les réglages, la forme du siège et l’assise.
Quel regard portez-vous sur le marché du mobilier de bureau ?
Pour moi, le marché du mobilier de bureau est mature et il devra maintenant aller au-delà de la conception du bureau en tant que tel. On le voit avec l’expansion du télétravail, les manières de travailler changent. Le travail en présentiel reste important car il permet notamment de faciliter l’échange d’informations et une bonne culture d’entreprise. Toutefois, nous allons être de plus en plus amenés à travailler dans des lieux différents comme les espaces de co-working. Ces nouveaux lieux de travail amènent à penser différemment le siège de bureau en le concevant comme un produit nomade capable de s’adapter aux différents lieux.
Avec le télétravail, le home-office se développe. Que pensez-vous de cette tendance et comment adaptez-vous vos produits ?
Chez Sokoa, nous proposons déjà des produits assez sympas pour travailler chez soi. Nous essayons de proposer des produits à la frontière entre bureau et habitat et nous allons continuer sur cette lancée tout en veillant à garder l’ergonomie et le confort. Ce sont deux éléments que nous ne sacrifierons pas car ils sont primordiaux.
Outre le confort, le respect de l’environnement se ressent également dans vos différentes gammes de produits. Je pense, par exemple, au siège Kulbu fabriqué à partir de polyéthylène d’origine végétale.
En effet, nous essayons d’utiliser des matériaux respectueux de l’environnement dès que cela nous est possible. Pour cela, nous effectuons régulièrement des veilles sur de nouveaux matériaux biosourcés. Ce respect de l’environnement passe aussi par la modification de nos process. Par exemple, dans les années 2000 nous avons revu notre processus de fabrication afin de supprimer la colle solvantée pour privilégier une colle plus respectueuse de l’environnement. À l’époque, nous avons pu faire basculer plus de 80% de nos produits vers des colles sans solvant. Aujourd’hui, la colle sans solvant est utilisée dans la fabrication de 98 % de nos produits et nous travaillons actuellement sur les 2 derniers pourcents. De plus, nous faisons partie avec d’autres grands fabricants d’ameublement des fondateurs en 2011 de l’éco-organisme à but non lucratif VALDELIA. Son but est de gérer la collecte et le traitement des déchets d’éléments d’ameublement. Le respect de l’environnement passe également par nos fournitures et notamment l’énergie. Nous avons fait le choix d’utiliser un fournisseur d’énergie local, ENARGIA, qui nous a proposé une solution 100% renouvelable. Depuis 2020, tous nos sites sont alimentés par cette énergie renouvelable. Nous avons fait le choix également d’être actionnaire de ce fournisseur pour plusieurs raisons. Premièrement car nous soutenons leur choix de proposer une énergie respectueuse de l’environnement ensuite parce qu’il s’agit d’une entreprise locale. Soutenir ce fournisseur est pour nous cohérent avec nos valeurs et avec notre volonté de développer l’emploi au Pays Basque. Nous avons pour souhait que d’autres entreprises, comme la nôtre, émergent sur notre territoire. Notre projet était utopique au démarrage mais nous avons réussi à le réaliser et nous souhaitons que cela devienne une réalité également pour d’autres initiatives et créations d’entreprises.
Depuis combien de temps mettez-vous en place ces démarches en faveur de l’environnement ?
Cette volonté de respect de l’environnement fait partie de l’ADN de Sokoa. Nous avons mis en place des démarches en faveur de l’environnement tout au long de notre existence mais sans forcément le formaliser. L’écologie et la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) sont aujourd’hui presque indispensables pour toutes les entreprises. En 2011, nous avons souhaité être évalués sur la RSE pour savoir comment nous nous positionnons sur cette thématique. Depuis, nous avons fait 3 nouvelles évaluations et, selon la norme RSE, nous sommes au niveau 4 sur 4, à savoir exemplaire. Cette expertise nous a permis de structurer notre démarche sociale, sociétale et écologique et de la valoriser.
Quelles sont les nouvelles gammes de produits sur lesquelles vous travaillez ?
Nous souhaitons rester autour du siège et des solutions d’assises dans le domaine professionnel. Notre objectif est de compléter et enrichir notre gamme, comme par exemple Lotua, destinée aux lieux de convivialité dans les entreprises et hôtels. Nous avons également pour projet de répondre davantage à des marchés adjacents comme les sièges destinés aux cafés, hôtels et restaurants.
Quels sont les projets à venir chez Sokoa ?
Au mois de janvier, nous avons acquis un nouveau bâtiment industriel, situé non loin de nos locaux actuels. Il s’agit d’un investissement fort qui traduit notre confiance dans l’avenir de Sokoa. Bien que la Covid-19 ait entraîné un ralentissement de notre activité pendant un temps, nous restons très confiants sur le futur de notre entreprise. Sokoa possède des bases solides et aussi une superbe équipe, des salariés motivés, talentueux et professionnels, des clients très fidèles et des fournisseurs sur qui nous pouvons compter. Ce cercle vertueux nous permet de proposer de beaux produits qui correspondent aux attentes du marché. Nous avons également de multiples nouveaux produits à venir. Nous nous projetons loin, car nous sommes persuadés de la croissance de Sokoa et du besoin d’accroître notre production pour pouvoir répondre au plus grand nombre. De plus, avec ce nouveau bâtiment industriel, nous continuons notre objectif premier qui est la création d’emplois dans notre région. Aujourd’hui, plus que jamais, il est important que les entreprises investissent pour offrir de l’emploi et dynamiser les territoires.
Bonjour, c’est un excellent article qui devrait » séduire » d’autres grandes entreprises et ainsi permettre d’offrir une meilleure
qualité de vie professionnelle aux salariés dans la durée et surtout faire comprendre aux citoyens que devenir actionnaire
d’une entreprise locale, C’est BON POUR TOUT LE MONDE.
Encore merci.